Cybersécurité

Vue d’ensemble

Consulter notre livre blanc sur quoi faire avant, pendant et après un cyberincident

Utilisez notre questionnaire d’analyse des besoins en matière de cybersécurité

La cybersécurité est plus que jamais un enjeu auquel les organisations doivent prêter une attention particulière, quels que soient leur taille et leur secteur d’activité.

L’augmentation des attaques informatiques et des coûts associés aux fuites de données sont largement documentés. De même, la mobilité de l’information dans un contexte de télétravail, le recours au stockage infonuagique, l’automatisation des procédés, ainsi que la connectivité accrue des systèmes organisationnels augmentent la vulnérabilité des organisations aux cyberattaques. Les fuites de données peuvent en outre entraîner des conséquences néfastes non seulement sur la réputation d’une organisation auprès du public, mais également sur la gestion et la continuité de ses affaires courantes.

Les exigences législatives et réglementaires applicables aux organisations des secteurs public et privé qui détiennent des renseignements personnels sont également rehaussées, comme le démontre notamment l’adoption récente par l’Assemblée nationale du Québec du projet de la loi 64, dans la foulée d’incidents de sécurité très médiatisés.

Notre expertise

Notre offre de services couvre tous les aspects de la cybersécurité, de l’identification des risques à la compréhension des enjeux, en passant par la mise en œuvre des bonnes pratiques en matière de cyber vigilance et l’accompagnement en cas de recours intentés contre l’entreprise à la suite d’un bris de confidentialité.

Chez Lavery, nous possédons une profonde et vaste expérience ainsi que des connaissances spécialisées, notamment dans des contextes de gestion de crise en matière de :

  • Protection des données à caractère personnel et autres données sensibles
  • Technologies de l’information
  • Gouvernance technologique
  • La gestion du risque informatique
  • Litiges (y compris les actions collectives)
  • Droit du travail et de l’emploi

Notre équipe est constamment à l’affut des changements législatifs en matière de renseignements personnels, un domaine qui est présentement en ébullition. L’équipe de Lavery possède des connaissances sur les technologies de pointe, notamment les technologies d’« internet des objets », d’intelligence artificielle et d’informatique quantique, qui viendront bousculer les pratiques en cybersécurité dans les prochaines années.

Notre offre de services aux institutions privées et publiques

Conscients du fait que les aspects juridiques ne constituent qu’une partie des dimensions à traiter en ce qui concerne la cyber vigilance d’une organisation, notre offre de services inclut non seulement les services juridiques spécialisés dans la gestion de la sécurité informatique, mais également des services non juridiques englobant une panoplie d’activités de prévention et d’intervention qui permettent d’apporter une réponse efficace et opérationnelle autour de quatre axes :

  • Stratégie et transformation : Développer des stratégies et des programmes axés sur les besoins et les risques de l’entreprise, qui soutiennent la croissance et l’agilité en faisant de la cybersécurité et de la confidentialité une priorité à l’échelle de l’entreprise.
  • Gestion des incidents et des menaces : Préparer, identifier, répondre, enquêter et corriger les menaces en toute confiance.
  • Vie privée et protection des consommateurs : Concevoir, mettre en œuvre et opérer un programme de protection de la vie privée qui permet aux organisations de maximiser l’utilisation des données dans le respect de la loi, tout en favorisant la confiance des consommateurs.
  • Mise en œuvre et opérations : Concevoir, mettre en œuvre, opérer et améliorer l’utilisation des technologies de cybersécurité et surveiller en continu votre environnement pour détecter et contenir les menaces contre votre entreprise.

Notre offre de services aux PME

Notre cabinet a développé une offre de services adaptée aux besoins en cybersécurité des PME, notamment afin d’analyser leurs besoins en la matière ainsi que de repérer les possibles failles auxquelles elles devraient porter attention.

Dans un premier temps, l’organisation est invitée à compléter un questionnaire d’analyse des besoins en matière de cybersécurité.

Une fois le questionnaire rempli, nous sommes en mesure d’établir un diagnostic, de proposer des solutions et un plan d’action pour remédier aux aspects problématiques ainsi que de vous guider dans la mise en place de ces recommandations qui porteront sur :

  • Gouvernance de la cybersécurité : pour toute entreprise, un sain processus de prise de décision est important en matière de cybersécurité.
  • Processus liés aux employés, fournisseurs et sous-traitants : les décisions de l’entreprise en matière de cybersécurité ainsi que ses politiques doivent être communiquées adéquatement non seulement au sein de l’organisation, mais également à toutes les parties prenantes.
  • Protection des données et des renseignements personnels et loi canadienne anti-pourriel : si votre organisation recueille des données ou des renseignements personnels dans le cadre de ses activités, elle doit le faire dans le respect de la loi.
  • Volet technique et technologique pour accroître sa cybersécurité : les conseils juridiques et stratégiques associés à la mise en œuvre du plan d’action suite à notre analyse des besoins en matière de cybersécurité.

Mandats représentatifs

  • Conseiller un des plus importants ordres professionnels du Québec à l’occasion d’un bris de sécurité informatique majeur visant ses employés et ses membres.
  • Conseiller une grande entreprise canadienne de chimie à l’occasion d’un vol de données personnelles relatif à ses employés et clients.
  • Conseiller une association canadienne de planification fiscale et financière suite à une cyberattaque survenue chez son fournisseur de services informatiques.
  • Donner un avis juridique et conseiller un des plus importants organismes publics du Québec sur l’opportunité et le contenu d’une déclaration d’incident découlant d’un bris de confidentialité suite à une cyberattaque.
  • Conseiller une multinationale œuvrant dans le domaine du tabac sur les mesures à mettre en place en cas de bris de sécurité informatique et réviser ses politiques, directives et plans d’intervention à ce sujet.
  • Donner une formation aux cadres d’une multinationale œuvrant dans le domaine de l’assurance sur la sécurité des données.
  • Donner une formation à une firme de comptables et de fiscalistes importante sur la cybersécurité et la protection des données personnelles.
  • Conseiller une société d’État sur l’application des Règles générales de protection des données (RGPD) et créer une matrice permettant d’identifier les cas où ce régime juridique européen qui contient des règles en matière de bris de sécurité informatique qui doivent être appliquées.
  • Participer à des audits informatiques pour diverses entreprises en lien avec la protection des données, le tout dans le cadre d’un partenariat avec une firme internationale de services-conseils.
  • Conseiller une entreprise canadienne œuvrant dans le domaine des pièces de véhicule et ayant fait l’objet d’une demande de rançon suite à une intrusion injustifiée dans ses bases de données contenant l’ensemble des plans techniques de ses clients américains et européens œuvrant dans le domaine de la fabrication de véhicules.
  • Révision des règles de sécurité physique et logique des systèmes informatiques et de télécommunications de deux importantes institutions financières canadiennes et rédaction et négociation des obligations du fournisseur en matière de sécurité physique et logique de ces systèmes informatiques et de télécommunications à qui l’impartition de l’exploitation de ces mêmes systèmes a été confiée en vue d’assurer une protection contractuelle adéquate de ces institutions financières advenant un bris de confidentialité à l’égard des données à caractère personnel et autres données sensibles qui lui sont confiées.
  • Assistance d’un cabinet européen dans le cadre d’une importante fuite de données d’employés et de fournisseurs, touchant une multinationale dans le domaine de l’électronique et ses filiales dans plusieurs juridictions dans le monde.
  • Conseiller une société cotée en bourse dans la mise en place de mesures de gouvernance et de sécurité informatique pour le partage de secrets commerciaux entre ses différents sites au Canada, aux États-Unis et en Europe.
  • Représenter une société européenne victime d'un cyberincident pour réclamer des dommages-intérêts des responsables de l'incident situés au Canada.
  1. Intelligence artificielle en entreprise : gérer les risques tout en tirant profit des bénéfices?

    À l’heure même où certains exigent une suspension temporaire de la recherche en intelligence artificielle et du développement de systèmes avancés et que d’autres souhaitent remettre le génie dans la bouteille, on peut se demander quel sera l’effet des technologies conversationnelles (ChatGPT, Bard et autres) au sein des entreprises et en milieu de travail. Certaines entreprises en encouragent l’usage, d’autres les interdisent, mais beaucoup n’ont toujours pas pris position. Nous croyons qu’il est impératif que toute entreprise adopte une position claire et guide ses employés en ce qui a trait à l’usage de ces technologies. Avant de décider quelle position adopter, une entreprise doit être consciente des différents enjeux juridiques liés à l’usage de ces formes d’intelligence artificielle. Si l’entreprise décide d’en permettre l’usage, elle doit alors être en mesure de bien encadrer cet usage et surtout les résultats et les applications qui en découleront. Force est de constater que de tels outils technologiques présentent à la fois des avantages non négligeables susceptibles de soulever les passions, pensons notamment à la rapidité avec laquelle ces technologies conversationnelles réussissent à fournir une information à la fois surprenante et intéressante, et des risques indéniables quant aux avancées qui peuvent en résulter. Nous résumons dans le présent texte quelques risques qui, à très court terme, guettent les entreprises, ainsi que leurs clients, employés et partenaires, dans le cadre de leur utilisation de ces outils. Risques d’erreurs et responsabilité Les médias ont abondamment relaté les errances et les inexactitudes des robots conversationnels qui génèrent du texte. Dans certains cas, on parle même « d’hallucinations », où le robot conversationnel invente une réalité qui n’existe pas. Cela n’est pas surprenant. D’une part, ces technologies s’abreuvent à l’Internet, qui est truffé de désinformation et d’inexactitudes, et d’autre part, on s’attend à ce que ces robots conversationnels « créent » de nouveaux textes. Ils n’ont pas, pour le moment du moins, de balises suffisantes pour utiliser cette « créativité » uniquement à bon escient. On peut facilement imaginer des situations où un employé utiliserait une telle technologie pour produire du contenu destiné à être utilisé par son employeur à des fins commerciales. Surgit alors un danger évident pour l’entreprise si des mesures de contrôle appropriées ne sont pas mises en place. Le contenu ainsi généré pourrait s’avérer erroné, et ce d’une manière à tromper les clients de l’entreprise. Ce risque serait particulièrement important si le contenu ainsi généré fait l’objet d’une diffusion, par exemple en étant affiché sur le site web de l’entreprise ou utilisé dans une campagne de publicité. Dans un tel cas, l’entreprise pourrait vraisemblablement être responsable du préjudice ainsi causé par son employé, celui-ci s’étant fié à une technologie qu’on sait défaillante. Cet enjeu de fiabilité de ces outils, surtout lorsqu’ils sont utilisés de façon peu encadrée, demeure à ce jour l’un de plus préoccupant. Diffamation Imaginons qu’une telle information erronée concerne de surcroît une personne connue ou une entreprise concurrente. D’un point de vue juridique, une entreprise qui diffuse un tel contenu sans mettre en place des balises pour s’assurer que des vérifications adéquates ont été faites pourrait s’exposer à des poursuites en diffamation ou pour publicité trompeuse. Il semble donc impératif d’adopter des mesures faisant en sorte que tout contenu tiré de ces technologies soit minutieusement validé avant tout usage commercial. Plusieurs auteurs suggèrent que les résultats générés par un tel outil d’intelligence artificielle devraient davantage servir d’aide pour l’analyse et la prise de décision, que de produits ou résultats finaux. Cependant, la vitesse à laquelle les entreprises adopteront ces outils et en bénéficieront, notamment sur le plan concurrentiel, pourrait devancer la vitesse à laquelle les bonnes pratiques et la réglementation viendront les gouverner. Enjeux de propriété intellectuelle Les robots conversationnels qui émergent ont été développés en vue de constituer des extensions aux moteurs de recherche du web, tels Google et Bing. Il est possible que le contenu généré par les robots conversationnels s’inspire de contenus web déjà existants et assujettis à des droits d’auteur, et qu’il en reprenne même parfois des portions substantielles.  Cela pourrait entraîner une violation de droits d’auteur. Si l’utilisateur limite son usage à des fins de recherche interne, le risque est alors limité puisque la loi prévoit une exception pour un usage équitable dans un tel contexte. Par contre, si son intention est de diffuser le texte à des fins commerciales, il y a un risque de violation de droits d’auteur. Ce risque est particulièrement présent lorsqu’on demande à un robot conversationnel de générer du contenu sur un sujet ciblé pour lequel il existe peu de références sur le web. Une autre question pour laquelle les réponses ne sont pas encore claires est celle de savoir qui détiendra les droits sur les réponses et les résultats découlant d’un tel outil, notamment si ces réponses et ces résultats font l’objet de diverses adaptations ou modifications avant leur ultime utilisation. Enjeux de confidentialité et de protection des renseignements personnels À la lecture de leurs modalités et conditions d’utilisation, la plupart de ces technologies conversationnelles ne semblent pas prévoir un usage qui soit confidentiel. Il est donc impensable de leur révéler des secrets commerciaux ou des renseignements confidentiels. Qui plus est, ces technologies ne sont pas conçues pour recevoir ni pour protéger des renseignements personnels conformément aux lois et règlements applicables dans les juridictions où elles pourraient être utilisées. Leurs propriétaires se dégagent généralement de toute responsabilité à cet égard. Autres enjeux Quelques autres enjeux importants méritent d’être soulignés parmi ceux qu’il est possible d’anticiper à ce jour. Premièrement, les possibles biais discriminatoires que certains attribuent aux outils d’intelligence artificielle, lorsque combinés avec le peu de règlementation de ces outils, peuvent entrainer des conséquences significatives pour divers groupes de la population. Deuxièmement, on ne peut pas passer sous silence les nombreux enjeux éthiques associés aux applications d’intelligence artificielle qui seront développées dans divers secteurs (médecine, justice, politique, etc.).  Les enjeux seront d’autant plus grands lorsque ces mêmes applications seront utilisées dans des juridictions où les lois, les coutumes et la culture (économiques, politiques et sociales) sont différentes. Enfin, les risques de conflit ne peuvent pas être ignorés. Qu’il s’agisse de conflits entre groupes prônant différentes valeurs, entre organisations ayant des objectifs opposés, ou même entre nations, il est difficile de prédire si et comment les avancées en matière d’intelligence artificielle permettront de solutionner ou d’apaiser de tels conflits ou si au contraire elles les envenimeront. Conclusion Ces technologies conversationnelles présentent un grand potentiel, mais soulèvent aussi des enjeux juridiques sérieux. À court terme, il semble peu probable que ces outils puissent légitimement se substituer au jugement humain, lui-même imparfait. Mais tout comme l’a fait la révolution industrielle il y a deux siècles, l’arrivée de ces technologies entraînera des changements importants et rapides au sein des entreprises. Il est important de préparer dès maintenant des politiques visant à encadrer l’usage de ces technologies au sein de votre entreprise. De plus, si votre entreprise doit intégrer une telle technologie dans le cadre de ses activités, nous vous recommandons de procéder à une étude attentive de ses modalités et conditions d’utilisation afin de vous assurer qu’elles sont compatibles avec le projet et les objectifs que votre entreprise souhaite réaliser grâce à elle.

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  1. Lavery accompagne Agendrix dans l’obtention de deux certifications ISO en matière de sécurité et de confidentialité des données

    Le 6 février 2023, Agendrix, une entreprise qui opère un logiciel de gestion du personnel, a annoncé avoir obtenu la certification de deux normes de sécurité et de confidentialité des données reconnues mondialement, soit ISO/CEI 27001:2013 et ISO/IEC 27701:2019. Elle devient l’un des premiers fournisseurs de logiciel de gestion du personnel et des horaires de travail au Canada à obtenir ces certifications. L’entreprise prend les devants pour tout ce qui touche la sécurité et la confidentialité des données traitées par ses applications web et mobile. La norme ISO/CEI 27001:2013 vise à améliorer les systèmes de sécurité de l’information, ce qui signifie pour les clients d’Agendrix que ses produits sont conformes aux plus hauts standards de sécurité de l’information. La norme ISO/IEC 27701:2019 encadre la gestion et le traitement des renseignements personnels et des données sensibles. La certification confirme qu’Agendrix adopte les meilleures pratiques en la matière et se conforme aux lois applicables. Une équipe Lavery composée de Eric Lavallée, Dave Bouchard, Ghiles Helli et Catherine Voyer ont accompagné Agendrix dans l’obtention de ces deux certifications. Plus spécifiquement, nos professionnels ont accompagné Agendrix dans la révision de leur contrat-type avec leurs clients, ainsi que dans la mise en place de politiques et de divers documents internes essentiels à la gestion des renseignements personnels et à la sécurité de l’information. Fondée en 2015, l’entreprise sherbrookoise Agendrix compte plus de 150 000 utilisateurs dans quelque 13 000 milieux de travail. Agendrix est un logiciel de gestion du personnel et se positionne comme leader au Québec en matière de gestion des horaires de travail auprès des PME. Agendrix a pour mission de centrer la gestion sur l'humain en développant un logiciel qui simplifie la vie des employés de première ligne. L’entreprise emploie aujourd’hui plus de 45 employés.

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  2. Lavery représente ImmunoPrecise Antibodies dans l’acquisition de BioStrand

    Le 29 mars 2022, la société ImmunoPrecise Antibodies Ltd (IPA) a annoncé l’acquisition de BioStrand BV, BioKey BV, et BioClue BV (ensemble, « BioStrand »), un groupe d'entités belges qui sont des pionnières dans le domaine de la bio-informatique et de la biotechnologie. Avec cette acquisition d’une valeur de 20 millions d’euros, IPA sera en mesure de tirer profit de la méthodologie révolutionnaire alimentée par l'intelligence artificielle mise en place par BioStrand pour accélérer la mise au point de solutions d’anticorps thérapeutiques. Outre la création de synergie avec ses filiales, IPA s'attend à conquérir de nouveaux marchés avec cette technologie révolutionnaire et consolider son positionnement comme leader mondial du domaine de la biothérapeutique. Lavery a eu le privilège d’accompagner IPA dans le cadre de cette transaction transfrontalière en lui fournissant une expertise pointue en matière de cybersécurité, propriété intellectuelle, valeurs mobilières, de même que fusions et acquisitions. L’équipe Lavery pilotée par Selena Lu (transactionnel) était composée d’Eric Lavallée (technologie et propriété intellectuelle), Serge Shahinian (propriété intellectuelle), Sébastien Vézina (valeurs mobilières), Catherine Méthot (transactionnel), Jean-Paul Timothée (valeurs mobilières et transactionnel), Siddhartha Borissov-Beausoleil (transactionnel), Mylène Vallières (valeurs mobilières) et Marie-Claude Côté (valeurs mobilières). ImmunoPrecise Antibodies Ltd. est une entreprise biothérapeutique axée sur l'innovation qui soutient ses partenaires commerciaux dans leur quête de découverte et de mise au point de nouveaux anticorps contre un large éventail de classes cibles et de maladies.

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