Pamela Cifola Avocate

Pamela Cifola Avocate

Bureau

  • Montréal

Téléphone

514 878-5489

Admission au barreau

  • Québec, 2022

Langues

  • Anglais
  • Français

Profil

Avocate

Pamela est membre de notre groupe Droit des affaires et exerce principalement en droit transactionnel et en droit commercial.

Me Cifola intervient en support de nos associés et de nos sociétaires d'expérience œuvrant principalement dans des dossiers liés à des transactions commerciales (vente et acquisition d'entreprise, fusion et réorganisation corporative).

En plus de sa pratique en droit transactionnel, Pamela rédige et révise des ententes commerciales de toute sorte, notamment des conventions d'achat d'actions, des conventions entre actionnaires, des engagements de confidentialité, des conventions de société et des régimes d'options d'achat d'actions de sociétés privées.

Dans le cadre de ses études universitaires, Pamela a complété un stage auprès de la magistrature de la Cour supérieure du Québec, sous la supervision des honorables Marie-Claude Armstrong et Babak Barin. Elle a de plus participé, dans le cadre de son cours d'interprétation juridique, à la rédaction du Projet de loi no197 soit, Loi modifiant la Loi sur la protection du consommateur afin de lutter contre l'obsolescence programmée et de faire valoir le droit à la réparation des biens, projet de loi no 197 (présentation – 9 avril 2019), 1re sess., 42e légis (Qc).

Activités professionnelles et communautaires

  • Étudiante stagiaire, Cour supérieure du Québec, Montréal, 2019-2020

Distinctions

  • Mention d’excellence-palmarès facultaire – 1re, 2e et 3e année
  • Coupe du Bâtonnier du Québec et bourse (meilleure équipe), Concours Pierre-Basile Mignault, 2020
  • Coupe SOQUIJ et bourse (2e meilleur mémoire – intimé), Concours Pierre-Basile Mignault, 2020

Formation

  • LL.B., Université de Sherbrooke, 2020
  1. Mesures de prévention et d’atténuation des risques relatifs au travail forcé ou au travail des enfants – Ce que les entreprises doivent savoir pour se conformer à la législation en vigueur

    Le 11 mai 2023, la Loi sur la lutte contre le travail forcé et le travail des enfants dans les chaînes d’approvisionnement, L.C. 2023, ch. 9 (la « Loi ») a été adoptée. La Loi a pour objet de mettre en œuvre les engagements internationaux du Canada en matière de lutte contre le travail forcé et le travail des enfants et vise à obliger certaines entités à faire rapport sur les mesures qu’elles ont prises afin de réduire l’utilisation du travail forcé ainsi que le travail des enfants. La Loi est entrée en vigueur le 1er janvier 2024 et les entités déclarantes, ainsi que les institutions fédérales, devaient déposer leur premier rapport conformément à la Loi le 31 mai 2024. Sécurité publique Canada (le « Gouvernement ») a également publié des lignes directrices pour les entités qui doivent soumettre un rapport. Champ d’application de la Loi La Loi s’applique aux institutions fédérales ainsi qu’à toute personne morale ou société de personnes, fiducie ou autre organisation non constituée en personne morale (i) dont les actions ou titres de participation sont inscrits à une bourse de valeurs canadienne ou (ii) qui a un établissement au Canada, y exerce des activités ou y possède des actifs et qui, selon ses états financiers consolidés, remplit au moins deux des conditions ci-après pour au moins un de ses deux derniers exercices : a) elle possède des actifs d’une valeur d’au moins 20 000 000 $; b) elle a généré des revenus d’au moins 40 000 000 $; c) elle emploie en moyenne au moins 250 employés. Ou bien (iii) qui est désignée par règlement (collectivement les « entités »). L’obligation de faire rapport s’applique à touteentité qui, selon le cas, a) produit, vend ou distribue des marchandises, au Canada ou ailleurs, b) importe au Canada des marchandises produites à l’extérieur du Canada ou c) contrôle l’entité qui se livre à l’une de ces activités. Les entités sont considérées comme exerçant des activités au Canada si elles y produisent, y vendent ou y distribuent des biens. Les entités peuvent également être considérées comme exerçant des activités au Canada si elles y ont des employés, y effectuent des livraisons, des achats ou des paiements, ou encore si elles possèdent des comptes bancaires dans le pays. Il est important de souligner que faire affaire au Canada n’exige pas d’y avoir un établissement. Qu’est-ce que le travail forcé et le travail des enfants? Au sens de la Loi , le travail des enfants se définit comme le travail fourni par des mineurs et qui, selon le cas, (i) est fourni ou offert au Canada dans des circonstances qui sont contraires au droit applicable au Canada, (ii) est fourni ou offert dans des circonstances qui leur sont physiquement, socialement ou moralement dangereuses, (iii) interfère avec leur scolarité ou (iv) constitue les pires formes de travail des enfants au sens de l’article 3 de la Convention sur les pires formes de travail des enfants1. Le travail forcé est le travail fourni par une personne (i) soit dans des circonstances où il serait raisonnable de croire que sa sécurité ou celle d’une personne qu’elle connaît serait compromise si elle ne fournissait pas son travail, (ii) soit dans des circonstances qui constituent du travail forcé ou obligatoire au sens de la Convention sur le travail forcé2. Obligation de faire rapport – entités déclarantes L’entité qui doit faire rapport annuellement au Gouvernement aux termes de la Loi doit fournir dans son rapport de l’information sur les mesures qu’elle a prises au cours de son dernier exercice pour prévenir et atténuer les risques relatifs au recours au travail forcé ou au travail des enfants. Afin de respecter les obligations imposées par la Loi, le rapport de l’entité devra également inclure des renseignements supplémentaires la concernant, par exemple de l’information sur sa structure, ses activités en lien avec à la production, la vente, la distribution ou l’importation de marchandise, ainsi que le type de marchandise et le lieu d’exploitation, les régions ou pays impliqués dans ses chaînes d’approvisionnements. De plus, le rapport devrait inclure une explication sommaire des politiques et des processus de diligence raisonnable mis en place par l’entité concernant le travail forcé et le travail des enfants, des renseignements sur la formation dispensée aux employés, ainsi que sur les portions de ses activités qui présentent un risque  de recours au travail forcé ou au travail des enfants. Puisque les mesures de prévention et d’atténuation du recours au travail forcé et au travail des enfants peuvent provoquer une perte de revenus pour les familles vulnérables, la Loi demande aux entités d’identifier les mesures prises pour contrer cet impact sur les familles vulnérables. Publication du rapport En plus de s’assurer du respect des exigences de format, d’approbation et d’attestation de son rapport et de son dépôt auprès du Gouvernement, l’entité doit le rendre public en le publiant à un endroit bien en vue sur son site Web. Le rapport peut être préparé dans l’une seule des deux langues officielles bien que le Gouvernement souhaite  que le rapport soit publié par l’entité dans les deux langues officielles. Également, la Loi exige que les entités constituées sous le régime de la Loi canadienne sur les sociétés par actions ou de toute autre loi fédérale fournissent le rapport à chaque actionnaire en même temps que leurs états financiers annuels. Infraction et peines Les entités déclarantes en défaut de produire leur rapport ou de le rendre public s’exposent à une peine pouvant aller jusqu’à 250 000 $ par infraction3. Les cadres supérieurs, les administrateurs et les employés sont également passibles de pénalités financières et de poursuites pénales en cas d’infraction par une entité.4 Toute infraction par une entité amène également un risque réputationnel. Conseils pratiques L’adoption de politiques, de procédures, d’outils d’audit et d’autres règles de prévention et d’atténuation de l’esclavage moderne ou l’amélioration de ceux-ci sont essentielles. Ces règles et politiques peuvent inclure des procédures de signalement et un processus d’enquête pour traiter les préoccupations ainsi qu’une protection envers les dénonciateurs (par exemple, une politique interne de dénonciation ou une protection similaire). Les entreprises devraient réfléchir à leur processus de sélection de fournisseurs et à l’opportunité d’adopter des règles concernant la surveillance des activités de leurs fournisseurs et partenaires. Elles peuvent également envisager de mettre à jour leurs accords avec leurs fournisseurs ou partenaires existants afin de respecter les exigences imposées par la Loi, notamment en incluant des dispositions interdisant l’utilisation du travail forcé ou le travail des enfants dans les activités commerciales du fournisseur. D’autres mesures pourraient inclure la sensibilisation et la formation du personnel, des administrateurs et dirigeants à la mise en œuvre des politiques et procédures de l’entreprise pour identifier et prévenir le travail forcé et le travail des enfants. Notre équipe a développé des outils pour aider les entités déclarantes à identifier les parties de leurs activités présentant un risque de recours au travail forcé ou au travail des enfants. Également, nous allons suivre les prochaines publications du Gouvernement en réaction aux premiers rapports déposés par les entités déclarantes et, le cas échéant, nous publierons un nouveau bulletin afin d’éclaircir les obligations relatives à la préparation du rapport. Pour de plus amples renseignements en lien avec vos obligations en vertu de la Loi, nous vous invitons à contacter notre équipe. Article 1 de la Loi et voir ici la Convention sur les pires formes de travail des enfants, adoptée à Genève le 17 juin 1999, à l’article 3 : Lien. Article 1 de la Loi et voir ici la Convention sur le travail forcé, adoptée à Genève le 28 juin 1930, à l’article 2 : Lien. Article 19 de la Loi. Article 20 de la Loi.

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  1. Lavery accompagne Cultures Gen V à devenir le plus important producteur en serres au Québec

    Le 4 juillet 2023, Cultures Gen V, leader québécois de la production en serre, a annoncé l'acquisition de Serres Royales. Cette acquisition s'inscrit dans la stratégie d'affaires de Cultures Gen V qui vise à promouvoir l'autonomie alimentaire québécoise, par la croissance de la culture en serre durable, en offrant des produits diversifiés et de qualité supérieure aux consommateurs. Cette transaction propulse Cultures Gen V au rang du plus grand producteur serricole diversifié du Québec, ajoutant 9 hectares de tomates à sa surface de cultures actuelles, pour un total de 36 hectares.Lavery a eu le privilège de représenter Cultures Gen V dans cette transaction en l'accompagnant dans la mise en place d'un refinancement du groupe préalablement à la transaction et dans la négociation et l'exécution de la transaction. L'équipe Lavery était dirigée par Étienne Brassard, principalement épaulé par Gabrielle Ahélo et France Camille De Mers avec la collaboration de Béatrice Bull, Pamela Cifola, Éric Gélinas, Jessica Parent, Chantal Desjardins, James Duffy, Valérie Belle-Isle, Sonia Guérin, Joseph Lauzon-Potts, Arielle Supino, Bernard Trang, Katerina Kostopoulos, Charlotte Dangoisse, David Tournier, Ana Cristina Nascimento, Joëlle Montpetit et Nadine Giguère.

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  2. Lavery accompagne NorthStar dans une ronde d’investissement d’environ 47M$CA

    Le 23 décembre 2022, NorthStar Ciel & Terre Inc. a complété une ronde d’investissement de série C d’environ 47M$CA à laquelle participaient : Cartesian Capital Group LLC, à travers son fonds Pangaea Three Acquisition Holdings III, LLC, à titre d’investisseur principal, Telesystem Space Inc., Luxembourg Future Fund – Co-Investments SA, le gouvernement du Québec, par l’intermédiaire de son mandataire Investissement Québec et du Fonds de développement du secteur spatial du Luxembourg SCSp qui est financé par SES, le premier fournisseur mondial de solutions de connectivité, et le gouvernement du Luxembourg. Cet investissement permettra à NorthStar de pleinement financer son projet de développement de services de surveillance de l’espace (Space Situational Awareness «SSA»), dont le lancement de ses trois premiers satellites de surveillance prévu pour la mi-année 2023. Lavery a eu le privilège de représenter NorthStar dans cet important mandat. Cette transaction a été menée par notre associée Me France Camille De Mers, principalement épaulée par Mes Philippe Brassard et Pamela Cifola. Nos associés Mes Ali El Haskouri et André Vautour ont également contribué au succès de cette transaction. — NorthStar Ciel & Terre Inc. est la première entreprise commerciale à surveiller toutes les orbites proches de la Terre depuis l’espace et à combiner les données provenant de divers capteurs terrestres pour offrir une couverture plus étendue. Sa gamme de services d'information livrée en temps réel repère et anticipe avec précision la position d'objets spatiaux pour renforcer la sécurité des vols spatiaux. Avec son siège social à Montréal, au Canada, une filiale européenne au Luxembourg et une filiale américaine, à McLean, en Virginie, NorthStar répond à la menace toujours croissante de collisions spatiales pour, ultimement, donner à l'humanité le pouvoir de préserver notre planète.

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  3. Lavery soutient le développement du commerce électronique local

    Le 20 juin 2022, le gouvernement du Québec et Plateforme Agora (faisant désormais affaire sous le nom « Le Panier Bleu ») ont annoncé la transition du Panier Bleu comme entreprise privée soutenue par de grands acteurs de l’économie québécoise. Lors de l’annonce, il a également été confirmé que le Panier Bleu développera prochainement une plateforme transactionnelle qui mettra l’accent sur le commerce électronique des produits de marchands locaux. Lavery a eu le privilège d’accompagner Plateforme Agora dans le cadre de cette ronde de financement et de la transition du Panier Bleu en lui fournissant des conseils en matière de financement d’entreprise, fusions et acquisitions, droit des sociétés, propriété intellectuelle, droit commercial en matière de technologies ainsi qu’en droit du travail. L’équipe Lavery pilotée par Étienne Brassard était composée de Jean-François Maurice, Isabelle Jomphe, Guillaume Laberge, Jessica Parent, Béatrice Bull, Isabelle Normand et Pamela Cifola.

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  4. Deux nouveaux membres rejoignent les rangs de Lavery

    Lavery est heureux d’accueillir deux nouveaux membres au sein du bureau de Montréal et du groupe Droit des affaires : Christian Chidiac et Pamela Cifola. Christian Chidiac Christian intègre le groupe Droit des affaires. Il intervient en support de nos associés et de nos sociétaires d’expérience, œuvrant principalement dans le domaine des fusions et acquisitions et du droit commercial. « D'un point de vue professionnel, je voulais travailler sur des dossiers complexes et importants, avec une pratique de droit des affaires très diversifiée. D'un point de vue plus personnel et relationnel, mes échanges avec chacun et chacune des intervenant.es du cabinet ont toujours été très cordiaux et Lavery semble accorder une grande importance au bien-être de ses employés. Je pense que c'est un environnement idéal pour apprendre et travailler. », indique Christian Chidiac, avocat. Pamela Cifola Pamela a été récemment assermentée après avoir complété son stage au sein du cabinet et intègre le groupe Droit des affaires. Elle exerce principalement en matière de valeurs mobilières. Elle mettra à contribution son expertise auprès de nos clients et partenaires d’affaires. Avant de se joindre à Lavery, Pamela a également complété un stage auprès de la magistrature de la Cour supérieure du Québec. « Dès mon arrivée chez Lavery, j’ai eu l'opportunité de collaborer avec des professionnels passionnés et compétents dans des dossiers diversifiés ! Dans le cadre de mon stage, j'ai eu la chance d’avoir des mentors hors pair qui ont pris le temps de me partager leurs connaissances et qui se sont investis dans mon développement professionnel, dont notamment mon Maître de stage Jean-Sébastien Desroches et mon tuteur Jean-François Maurice. Je suis choyée de pouvoir faire partie de la grande famille Lavery et je ne pourrais me sentir mieux entourée pour commencer le début de ma pratique en droit des affaires ! », précise Pamela Cifola, avocate.

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